Le dédale d'ordures - pas méchants, mais nombreux !!!
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A peine passé la porte qu’un vilain, Anamoli, vous agresse. Avec un bon charisme, parlez lui de la Dame, cela devrait refroidir ses ardeurs. Sinon, pas d’autre choix que vous défendre. Le problème c’est qu’une fois mort ses 6 copains vous attaquent. Ecartez vous un peu afin de les prendre un par un sinon vous risquez d’y passer. Vous c’est pas grave mais pour Morte c’est plus chiant. Grâce à eux, vous allez récupérer quelques sous. Il semble que vous pouvez éviter le combat en lui parlant de la Mère des douleurs. En progressant dans le niveau, vous allez rencontrer des sicaires ou des habitants du village enseveli. Tous seront agressifs et toujours en bon nombre. Conseil : avancez à petits pas afin de ne pas tous les dévoiler d’un coup, cela vous permet de les tuer au fur et à mesure. Attention au milieu à droite, si vous coursez l’habitante solitaire, elle va vous ramener vers son groupe. |
 Sur
la droite, un portail apparaît si vous avez sur vous des queues
de rats. Il vous amène dans une pièce 5 mètres plus
loin emplie de rats-crâne. Ces affreux sont doués de magie
et vont donc se révéler plus résistant que vous ne
le pensez, en vous rendant aveugle par exemple. Foncez dessus afin d’en
butter le plus possible avant  que
leurs sorts ne fassent effet. La récompense est à la hauteur
du combat : dans le coffre piégé
(vive le voleur), 314 pièces, 2 charmes de caillots, un parchemin
de projectiles magiques, un gourdin épineux et un cadre en argent
qui reprend le principe de la loi de Talion : les dégâts
que vous fait un adversaire, il se les prend aussi. |
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Un peu partout des sous ou des anneaux. En bas à droite, une sacrée bande de gaillard avec à sa tête, Bish. Il vous demande qui vous êtes, répondez n’importe quoi mais dites lui surtout que vous venez voir Pharod. Il prétextera que de toute manière il y a suffisamment de gardes pour que Pharod ne risque rien. Et vous laissera passer : 1200xp. Vous avez alors accès à une trappe menant au village enseveli. |
Et c’est là que nous allons